Petite vue
de la
galaxie d’Andromède.
En dessous, le Soleil, Mars, Saturne, Jupiter et la Terre
Lors de notre voyage
ma compagne
me fit remarquer
ce formidable clair de terre
Nous nous en délectâmes et prîmes un bain de poussières, gommages pour nos peaux sensibles .
Alors que je me rhabillais, ma dulcinée, férue d’astronomie m’expliqua à l’aide du graphique ci-joint les cinq couches qui forment l’athmosphère. Il faut dire que j’étais plus en admiration par ses courbosphères. La seule chose que je retins, fut la description des trous dans la couche d’ozone. Grâce à la grande intelligence du primate humanoïde, nous atteindrons plus rapidement le sol terrestre et Torremolinos. Nous arrivâmes à la troposhère, dernière couche entre l’athmosphère et la terre. Une altitude moyenne comprise entre 8 et 15 kilomètres. Zone primordiale pour l’espèce humaine puiqu’elle contient grande quantité d’oxygène, mais, est aussi le lieu des phénomènes météréologiques.
Nous croisâmes les grandes amies des parapluies, les horribles dépressions indubitablement associées aux pluies, averses, crachins, bruines, soit le déplacement d’un liquide du haut vers le bas.
Nous nous renseignâmes auprès d’une escouade d’angelots quant à la localisation d’un anticyclône..
Ils consultèrent leurs cartes magnétiques, situées sous l’aile gauche et nous signalèrent en choeurs que nous devions faire demi-tour, et nous diriger vers une zone de plus de 1015 hectopascals . La plus proche étant située au-dessus des célébrissimes Açores.
Nous fûmes victimes de notre naîveté face aux mouvements des masses d’airs et nous nous retrouvâmes dans un décor où nos tenues balnéaires posèrent problèmes. Ne parlant pas le dialecte local, un argousin, nous mirent en quarantaine dans une cellule . Il faut-être probe et raison garder,la vue sur une certaine Grand-Place de cette petite ville asphyxiée était des plus avenantes pour nos deux paires d’yeux.