Les indiens, c’est comme ça qu’on appelle les derniers habitants du quartier, ces survivants qui ne se laissent pas faire, même si leur bureau de poste a déménagé dans les murs du Parlement européen, même s’il n’y a plus que des tartes aux brocolis en vente sur la place du Luxembourg, et même s’il faut désormais aller à la cafétéria de la gare pour noyer son chagrin dans une bière avant 11h30 du matin, comme Bernard et Maigret ce jour-là.
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Publié le samedi 23 février 2008
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